"Parfois, on a l'impression de retrouver le héros du Rivage des Syrtes"...
sur encres-vagabondes et sous la plume de Sylvie Legendre-Torcolacci, une recension de La ligne des glaces qui me touche parce qu'elle rappelle les liens entre ce troisième roman et mon premier, Halte à Yalta, mais aussi parce qu'elle évoque mon maître, évidemment, Julien Gracq...
pour lire l'article en entier et dans son contexte, c'est ici :
http://www.encres-vagabondes.com/magazine2/ruben3.htm
extrait :
"...Ruben, géographe de formation, publie son troisième roman – après Halte à Yalta et Kaddish pour un orphelin célèbre et un matelot inconnu – et réussit cette performance qui consiste à parler avec précision d'états d'âme vagues et de frontières pour le moins floues, à la limite des glaces, qui côtoient le réel et l'imaginaire. Parfois, on a l'impression de retrouver le héros du Rivage des Syrtes… Finalement qu'importe si nous sommes aux confins de la Lettonie ou de l'Estonie, le principal pour le lecteur est de suivre cette ligne poétique romanesque que sont ces glaces qui emprisonnent ou font dériver Samuel."