
nouvelle parue en octobre 2011 dans Ravages n°7
http://www.scopalto.com/revue/ravages
extrait
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Dehors, devant la gare, la place est déserte. Nulle âme qui vive. Pas un souffle de vent. Je pense à Laure que je vais bientôt retrouver, qui m’a promis de venir me chercher, le lendemain, à la gare de Bâle, et de me ramener à la maison. Je pense aussi que je vais pouvoir me refaire une santé, retrouver la bonne bouffe alsacienne, la flamekueche, la choucroute et ce sacré...
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