
Ce qui nous sépare nous relie, ce qui nous relie nous sépare aussi. Deux anecdotes tirées de mes tribulations avant et après le Banquet du livre et des générations, à Lagrasse.
À l’aéroport de Munich, où je fais escale entre Belgrade et Toulouse, le jour du départ, le 6 août, l’agent de sécurité qui me tend les bacs où déposer mes affaires à l’entrée du portique est un vieil homme de petite taille, aux cheveux blancs et aux yeux bleus. À la vue de mon passeport, il me demande, en français, avec un léger accent : « il...
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