06 mai 2022
Une rentrée aux frontières orientales et méridionales de l'Europe - 1

07 octobre 2014
en attendant une rencontre le 26 novembre à la librairie Charybde, retour sur mon Kaddish, sous la plume d'Hugues Robert

05 septembre 2014
La ligne des glaces et Meursault contre-enquête figurent dans la Première sélection pour le prix Goncourt 2014 !

13 août 2014
le rebelle, le réac et l'homme révolté : comment faire danser la réalité ?

02 juillet 2014
lettre au prof que j'aurais voulu devenir

10 février 2014
sur Sens Public, une lecture complice et attentive, par l'ami Christophe Premat
pour lire l'article dans son contexte :
http://sens-public.org/spip.php?article1058
Imaginer le passé entre les lignes d’Albert Camus
Lecture de "Kaddish pour un orphelin célèbre et un matelot inconnu" d’Emmanuel Ruben (éditions du Sonneur, 2014)
par Christophe Premat
"On aurait pu penser à un exercice de style : réécrire une époque en empruntant la plume d'Albert Camus et en lui confiant un narrateur. On cale le récit sur un monument littéraire et on refigure le passé1 en lui donnant une... [Lire la suite]
30 novembre 2013
pour en finir avec le jugement des hommes

29 septembre 2013
sur le webzine Zone Critique, un article en demi-teinte intitulé "Pourquoi donc Albert Camus ?"
pour lire l'article en entier et dans son contexte : http://zone-critique.com/2013/09/29/kaddish-pour-un-orphelin-celebre-et-un-matelot-inconnu/
Retour aujourd’hui sur le joli roman d’Emmanuel Ruben, Kaddish pour un orphelin célèbre et un matelot inconnu qui met en scène Albert Camus et le grand père du narrateur. Mais pourquoi, justement, Albert Camus ?
"L’ « orphelin célèbre » et le « matelot inconnu » meurent tous deux en 1957. Albert Camus dans un accident de... [Lire la suite]
12 septembre 2013
sur l'Anagnoste, un article qui va droit au but, sous la plume d'Eric Bonnargent
Jean-Pierre Raynaud, France (2005)
pour lire l'article en entier et dans son contexte : http://anagnoste.blogspot.fr/2013/09/emmanuel-ruben-kaddish-pour-un-orphelin.html
Sisyphe en Algérie
« Comment ? C’est ainsi que tu es trop tôt parti ! PAN, à bout portant. D’un seul coup de feu. Qui ne m’aura pas laissé le temps de te connaître. Mais qui résonne encore – PAN, à bout portant – dans la nuit. J’ignore s’il m’est permis de te tutoyer ; je pourrais ne pas m’adresser... [Lire la suite]
30 août 2013
sur remue.net, un précieux article signé Jacques Josse
