
4e de couv :
"Mettons que c’était pour toutes ces raisons que je l’avais laissé me suivre. Mettons que j’avais trouvé le frère cadet qui me manquait. Mettons que j’avais trouvé l’enfant que je n’avais pas vu – voulu voir ? – naître. Je crois que je comprenais petit à petit pourquoi, d’une banale rencontre faite dans un train, était née une histoire – je ne dis pas une amitié ; entre le Tatar et moi, il s’agissait à la fois de bien plus et de bien...
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